Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndromes prolongés de sevrage

Publié le

5. demander la reconnaissance du syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines, affection multiforme et extrêmement invalidante, et sa prise en charge par l'assurance maladie ; informer et sensibiliser les médecins prescripteurs à cette maladie iatrogène d'une extrême gravité ; demander au législateur la mise en place d'un fonds d'indemnisation des victimes des benzodiazépines.

Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndromes prolongés de sevrage

Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français

En France les syndromes prolongés de sevrage étant niés par les médecins, par facilité, quelque fois sur ordre, de rares fois par ignorance, dans le but de continuer a empoisonner un maximum de victimes, ils identifient les symptômes de sevrage aux psychotropes non pas comme tel mais comme une autre maladie : dépression, fibromyalgie, syndrome des jambes sans repos, syndrome de fatigue chronique, phobie sociale, bipolarité,et autres maladies psychiatriques divers afin de vous empoisonner avec : ... d'autres drogues psychiatriques (souvent encore pire que les premières) !! (attention, nous ne prétendons pas que toutes ces maladies soient dues aux seuls psychotropes...quoi que...). Ce négationnisme fait partie des pires actes volontaires criminels des médecins, mais n'est pas le seul (cette pratique étant courante en matière d'effets secondaires des médicaments).

Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
 
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.
 
Le négationnisme de l'association de médecins morphé (association française du sommeil : a fuir !) : les centres d'empoisonnement pour le sommeil sont, aussi, a éviter a tout prix !
"Aucun medecin n'en doute la existence d'un syndrome de sevrage des benzodiazépines qui a été démontre à répétition dans les études. Mais tous les symptômes décrit par les patients dans les  vidéos ne sont pas compatibles avec un simple syndrome de sevrage et d'autres pathologies sont à suspecter.
Si vous avez du mal à arrêter vos benzodiazépines il ne faut pas penser que tous vos symptômes sont forcement en relation avec les benzodiazépines. J'encourage tout patient avec des symptômes handicapants durant un sevrage médicamenteux de faire un bilan médical et psychiatrique complet afin de ne pas passer à coté d'une autre pathologie.".(Note : ne suivez jamais ces conseils et fuyez les psychiatres !)
 
"Bref, ce n'est pas simple est je pense que dans tous les cas, le terme de sevrage est inadapté après 3 mois. " ou : le forum atoute dans "mensonges et propagandes" (c'est une habitude)
 
Un spécialiste de la toxicomanie m'a dit un jour que personne ne pouvait devenir accro à Ativan (une benzodiazépine) à moins d'avoir pris ce médicament pendant plus de deux ans. C'est un mythe complet.
 
La phobie sociale est "une pathologie inexistante et exagéré" pour vendre des "médicaments" qui provoquent réélement ces maladies de manière iatrogène.
 
maladie iatrogène, torture chimique
 
la dépression provoquée par le médecin et les drogues prescrites
 
Les benzodiazépines sont a l'origine de nombreux cas d'alcoolisme dont les victimes n'en comprennent pas l'origine, et sur lesquels les médecins gardent un silence criminel.
 
Certains médicaments sont connus pour induire un SJSR. C'est le cas par exemple de nombreux antidépresseurs, de la plupart des neuroleptiques, des broncho-dilatateurs contenant de la théophylline,...(très important les...)
 
la piste d’une origine toxique (Fibromyalgie et Syndrome de Fatigue Chronique)
 
bon nombre de bipolaire sont en fait des victimes d'un syndrome prolongé de sevrage aux psychotropes
 
souvent les gens en sevrage des benzos obtiennent à peu près des résutat tels que "sep possible" alors que très peu peuvent obtenir un diagnostic de "SEP certaine"
 
Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible
 
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
 
Ces mensonges permettent d'empoisonnés des millions de personnes.
 
Dans cet ouvrage, en se basant sur les faits disponibles, l’auteur de Psychiatrie mortelle et déni organisé montre que la manière dont nous utilisons habituellement les médicaments psychiatriques inflige beaucoup plus de tort qu’elle ne fait du bien. Le professeur et médecin Peter C. Gøtzsche établit que les médicaments psychiatriques tuent chaque année plus d’un demi-million de gens de 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ces médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer. Or, la consommation actuelle de psychotropes pourrait être réduite de 90 %, tout en améliorant la santé mentale et physique ainsi que la survie des patients.
Dans son livre, Gøtzsche soutient aussi que les chefs de la psychiatrie – souvent à la solde de l’industrie pharmaceutique – ont créé et promu de nombreux mythes pendant des décennies pour mieux cacher le fait que la psychiatrie biologique a été généralement un échec. La psychiatrie biologique croit que les médicaments sont la " solution " à presque tous les problèmes, en contradiction marquée avec les opinions des patients,
 
Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait  y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient.
Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré :«Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés . Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets »
 
Le fonds d'indemnisation sous-évalue les pathologies de nombreux malades.    L'Agence de presse médicale (APM) a soulevé jeudi un véritable lièvre. Alors que l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) rendait publiques les résultats de ses expertises (64 victimes du Mediator seront indemnisées sur les 863 dossiers étudiés, soit un très faible nombre de malades), l'APM relevait que les experts minimisent la gravité des dossiers en réinterprétant les comptes-rendus des examens.
 
Il est temps de prendre conscience du caractère inacceptable de cette situation, et d'agir.
Le 30 janvier 2014, lors de la "Pilule d'Or 2014", Prescrire a organisé une conférence-débat sur les victimes d'effets indésirables.
Millie Kieve, fondatrice d'April, association britannique de victimes d'effets indésirables médicamenteux psychiatriques, a donné la voix aux victimes, notamment au travers de témoignages personnels.
Sophie Le Pallec, présidente d'Amalyste, association française de conseils et d'aide aux patients victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson (des effets indésirables très graves de médicaments) a montré comment il était en pratique presque impossible aux victimes de médicaments d'être reconnues comme telles, notamment en raison d'une législation inadaptée.
Bruno Toussaint, directeur éditorial de Prescrire, a souligné qu'il était important d'écouter les victimes, pour mieux soigner : « Beaucoup de drames sont évitables en choisissant mieux les traitements. (...) Chacun a intérêt à écouter les victimes des médicaments. Chacun a intérêt à les connaître, à les reconnaître, à les écouter. Leur histoire, leur parcours, leurs témoignages, et ceux de leur entourage, sont une riche source de progrès pour mieux soigner, pour mieux choisir les traitements, pour mieux s'informer et se former, pour mieux réguler le marché des médicaments, pour mieux gérer les ressources de l'assurance maladie, et aussi pour repenser en profondeur la prise en charge des victimes des médicaments, y compris en matière juridique (…) ». Les textes des interventions sont en accès libre ICI
 
fichier pdf a télécharger

Témoignage de négationnisme du médecin

Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndromes prolongés de sevrage

Le syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines doit être reconnu !

Déni organisé

Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndromes prolongés de sevrage

docteur joanna Moncrieff 

"Dans l'histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d'ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue"

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments de BIG PHARMA.

Torture, horribles sevrages des benzodiazépines : quelques vidéos témoignages complémentaires
EHPAD ou UHR : un univers concentrationnaire, des prisons pour personnes âgées. Alzheimer : diagnostic inventé pour les droguer à mort
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article